Des centaines de poissons ont été retrouvés morts depuis samedi sur le bras du Petit-Cher à Tours.
Les jardiniers du coin ont découvert « le massacre », hier matin. Des centaines de poissons morts flottent à la surface. Une odeur nauséabonde émane également du cours d'eau. Déjà, la veille, dimanche, les premiers signes d'asphyxie étaient visibles dans le bras du Petit-Cher, le long du lac de la Bergeonnerie, à Tours.
On trouve toutes sortes de poissons?: des carpes, des brochets (certains font 40 cm), des gardons, des brèmes, des goujons… Même de grosses anguilles agonisent sur les hauts-fonds. Seuls les poissons chats sont toujours en vie, habituellement calés au fond, ils sont désormais à la surface à la recherche d'oxygène.
Sur place, les jardiniers tiennent tous le même discours, comme Jacques, qui a déjà constaté le phénomène deux ans plus tôt?: « Le niveau a baissé de 20 centimètres, les poissons n'ont plus d'oxygène. C'est honteux. »
Pourquoi une telle situation?? A la Ville de Tours, on explique?:
« Ce phénomène se produit chaque année en période de chômage du Cher. La baisse du niveau d'eau, combinée au manque de pluie et à l'eutrophisation du milieu, provoque un manque d'oxygène pour les poissons. » (Ajout NA: tiens donc !?! ben vi quoi ...et les pesticides....?....)
Face à cette surmortalité, « le service désinfection de la Ville intervient quotidiennement pour l'enlèvement des poissons morts », est-il précisé.
Les jardiniers du coin ont découvert « le massacre », hier matin. Des centaines de poissons morts flottent à la surface. Une odeur nauséabonde émane également du cours d'eau. Déjà, la veille, dimanche, les premiers signes d'asphyxie étaient visibles dans le bras du Petit-Cher, le long du lac de la Bergeonnerie, à Tours.
On trouve toutes sortes de poissons?: des carpes, des brochets (certains font 40 cm), des gardons, des brèmes, des goujons… Même de grosses anguilles agonisent sur les hauts-fonds. Seuls les poissons chats sont toujours en vie, habituellement calés au fond, ils sont désormais à la surface à la recherche d'oxygène.
Sur place, les jardiniers tiennent tous le même discours, comme Jacques, qui a déjà constaté le phénomène deux ans plus tôt?: « Le niveau a baissé de 20 centimètres, les poissons n'ont plus d'oxygène. C'est honteux. »
Pourquoi une telle situation?? A la Ville de Tours, on explique?:
« Ce phénomène se produit chaque année en période de chômage du Cher. La baisse du niveau d'eau, combinée au manque de pluie et à l'eutrophisation du milieu, provoque un manque d'oxygène pour les poissons. » (Ajout NA: tiens donc !?! ben vi quoi ...et les pesticides....?....)
Face à cette surmortalité, « le service désinfection de la Ville intervient quotidiennement pour l'enlèvement des poissons morts », est-il précisé.