"Oracle sur Damas. Voici, Damas ne sera plus une ville,
elle ne sera qu'un monceau de ruines" Esaie 17:1
Le président Barack Obama a ordonné de l'US Navy et Air Force d'accélérer les préparatifs pour une offensive aérienne limitée contre le régime Assad et l'imposition de zones d'exclusion aérienne au-dessus de la Syrie, selon DEBKA rapports.
elle ne sera qu'un monceau de ruines" Esaie 17:1
Le président Barack Obama a ordonné de l'US Navy et Air Force d'accélérer les préparatifs pour une offensive aérienne limitée contre le régime Assad et l'imposition de zones d'exclusion aérienne au-dessus de la Syrie, selon DEBKA rapports.
Leur mission sera de frappé le régime central Assad et les centres de commandement militaire afin de secouer la stabilité du régime et de restreindre l'armée syrienne et l'activité de l'armée de l'air pour apaiser action de rebelles et de causer de la violence sur les populations civiles.
DEBKA révèlent que le président américain a décidé sur cette étape après avoir entendu les responsables russes, déclarant à plusieurs reprises que « Moscou appuierait le départ du Président Bachar al-Assad si les Syriens l'a acceptée. » Cette position a été interprétée comme ouvrant à deux voies d'action :
1. Pour aller au renvoi d'Assad en intensifiant les fournitures d'armes aux rebelles et en organisant leurs forces comme une force professionnelle capable de prendre sur les unités militaires fidèles à El-Assad. Ce processus était déjà vendredi 8 juin, quand pour la première fois une armée libre syrienne (qui compte environ 600 hommes en armes) attaqua un bataillon de l'armée syrienne à Damas. Un de ses objectifs était un bus transportant des spécialistes russes.
2. Pour sélectionner un groupe d'officiers de la grande armée qui, sous la pression de l'offensive aérienne limitée, serait prêt à faciliter une Assad du pouvoir ou de monter un coup d'État militaire à la force de lui et sa famille, d'accepter l'exil.
L'opération U.S. pourrait être modulée selon la voie politique et se sont déroulés des événements militaires.
Washington n'est pas sûr comment Moscou réagiraient sharp condamnations à part ou si la Russie accepterait un processus de changement de régime à Damas et son remplacement par le régime militaire.
