© Photo : SXC.hu
Le 19 août entrera dans l’histoire millénaire de l’humanité comme le Jour du dépassement. Cela signifie que l’humanité a déjà épuisé les ressources renouvelables que notre planète peut reproduire pendant une année.
D’après les données du Réseau global Empreinte écologique (Global Footprint Network, GFN), qui procède tous les ans à de telles évaluations, l’humanité a épuisé vers le 19 août une telle quantité de ressources biologiques en moins de huit mois. Autrement dit, pendant quatre mois nous tous vivrons à crédit emprunté à ceux qui vivront sur la planète après nous.
Cependant, la population de la Terre augmente impétueusement et la consommation de ressources biologiques devient de plus en plus dynamique. Ainsi, en 2000 le Jour de dépassement est arrivé début octobre : près de deux mois plus tard que cette année.
D’après les données de la Fondation allemande de la population de la Terre pour le 1er janvier 2014, elle a atteint 7,2 milliards de personnes ce qui est de 80 millions supérieur par rapport à 2013. D’après les pronostics, la population de la planète atteindra 8 milliards d’habitants.
Comment sera la planète que nous laisserons à nos descendants lointains si d’après les estimations du GFN, l’humanité a dès aujourd’hui besoin d’une telle quantité de ressources que pourrait assurer « une Terre et demie » et vers le milieu du siècle - « trois Terres ».
Le directeur scientifique du World Wildlife Fund (WWF)-France) Christophe Roturier parle dans une interview accordée par téléphone à notre observateur Igor Yazon de la situation dans ce domaine, il réfléchit s’il est possible de compenser la dette empruntée aujourd’hui aux futures générations et que doit faire à ces fins la communauté mondiale.
Le 19 août entrera dans l’histoire millénaire de l’humanité comme le Jour du dépassement. Cela signifie que l’humanité a déjà épuisé les ressources renouvelables que notre planète peut reproduire pendant une année.
D’après les données du Réseau global Empreinte écologique (Global Footprint Network, GFN), qui procède tous les ans à de telles évaluations, l’humanité a épuisé vers le 19 août une telle quantité de ressources biologiques en moins de huit mois. Autrement dit, pendant quatre mois nous tous vivrons à crédit emprunté à ceux qui vivront sur la planète après nous.
Cependant, la population de la Terre augmente impétueusement et la consommation de ressources biologiques devient de plus en plus dynamique. Ainsi, en 2000 le Jour de dépassement est arrivé début octobre : près de deux mois plus tard que cette année.
D’après les données de la Fondation allemande de la population de la Terre pour le 1er janvier 2014, elle a atteint 7,2 milliards de personnes ce qui est de 80 millions supérieur par rapport à 2013. D’après les pronostics, la population de la planète atteindra 8 milliards d’habitants.
Comment sera la planète que nous laisserons à nos descendants lointains si d’après les estimations du GFN, l’humanité a dès aujourd’hui besoin d’une telle quantité de ressources que pourrait assurer « une Terre et demie » et vers le milieu du siècle - « trois Terres ».
Le directeur scientifique du World Wildlife Fund (WWF)-France) Christophe Roturier parle dans une interview accordée par téléphone à notre observateur Igor Yazon de la situation dans ce domaine, il réfléchit s’il est possible de compenser la dette empruntée aujourd’hui aux futures générations et que doit faire à ces fins la communauté mondiale.