«Cette situation inquiétante et inhabituelle dans les eaux sénégalaises nécessite des mesures urgentes et concertées de la part des ministères de l’Ecologie et du Développement durable, de l’Energie et des Mines, de la Pêche et des Affaires Maritimes ainsi des communautés des pêcheurs pour en identifier les causes afin de préserver les pêcheries déjà fortement affectées par la surpêche», a dit Ahmed Diamé, Chargé de Campagne Océans à Greenpeace Afrique.
Selon l’enquête menée par Greenpeace, ces observations ont coïncidé avec le démarrage des activités d’exploration pétrolifère dans le sud du pays, à la frontière sénégalo-bissau-guinéenne, par la compagnie ORYX Petroleum.