Les véhicules blindés n'étaient pas identifiables (ni drapeaux, ni écussons) et les personnels - sans insigne reconnaissable - présents sur les véhicules n'ont pas répondu aux questions.
Ces manœuvres coïncident avec l'étalage de forces militaires de la Russie, qui envoyait, le même jour, des jets de combat patrouiller le long de la frontière avec l'Ukraine. La Russie pourrait avoir donné refuge au président ukrainien en fuite, Viktor Ianoukovitch. Le drapeau russe a aussi été hissé sur le parlement de Crimée à Simferopol, occupé par un groupe d'hommes armés pro-russes.