Un haut responsable iranien a affirmé lundi à la presse, lors d'une visite à Damas, qu' « Israël » "regrettera son agression" contre la Syrie.
"L'entité sioniste regrettera son agression contre la Syrie, comme elle a regretté ses guerres des 33 jours, des 22 jours et des huit jours", a assuré le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale iranien, Saïd Jalili. Il faisait référence à la guerre contre le Liban en 2006 et les deux attaques contre la bande de Gaza en décembre 2008-janvier 2009 puis en 2012.
Et de souligner : "la Syrie est à l'avant-garde face à l'entité sioniste, et l'Iran qui préside actuellement le groupe des Non-alignés utilisera toutes ses relations (...) pour soutenir la Syrie contre l'ennemi sioniste".
"Le monde islamique est uni dans la défense de la Résistance" contre « Israël », a poursuivi M. Jalili, qui effectue depuis samedi une visite à Damas.
« Israël » a mené mercredi un raid aérien contre la Syrie visant un centre de recherche militaire près de Damas.
Appel au dialogue
Par ailleurs, M. Jalili a réaffirmé le soutien de Téhéran à l'ouverture d'un dialogue entre le gouvernement syrien et les rebelles.
"Depuis le début du conflit, il y a deux ans, nous appelons au dialogue qui seul aidera le peuple syrien à surmonter la crise", a-t-il dit, soulignant que "tout mouvement ou groupe voulant participer à ce dialogue sera le bienvenu".
"Nous espérons que le peuple et le régime entameront ce dialogue (...) et parviendront à des résultats, la solution militaire n'étant pas une solution adéquate car elle sera funeste pour le peuple syrien", a-t-il ajouté.
Il a estimé en outre que l'initiative proposée en janvier par le président syrien Bachar al-Assad "serait une base adéquate pour le dialogue", en allusion au plan de dialogue national proposé par M. Assad le 6 janvier.
Dimanche à Munich (Allemagne), le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, a salué la volonté du chef de l'opposition syrienne, Ahmed Moaz al-Khatib, de dialoguer avec le régime syrien.
"L'entité sioniste regrettera son agression contre la Syrie, comme elle a regretté ses guerres des 33 jours, des 22 jours et des huit jours", a assuré le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale iranien, Saïd Jalili. Il faisait référence à la guerre contre le Liban en 2006 et les deux attaques contre la bande de Gaza en décembre 2008-janvier 2009 puis en 2012.
Et de souligner : "la Syrie est à l'avant-garde face à l'entité sioniste, et l'Iran qui préside actuellement le groupe des Non-alignés utilisera toutes ses relations (...) pour soutenir la Syrie contre l'ennemi sioniste".
"Le monde islamique est uni dans la défense de la Résistance" contre « Israël », a poursuivi M. Jalili, qui effectue depuis samedi une visite à Damas.
« Israël » a mené mercredi un raid aérien contre la Syrie visant un centre de recherche militaire près de Damas.
Appel au dialogue
Par ailleurs, M. Jalili a réaffirmé le soutien de Téhéran à l'ouverture d'un dialogue entre le gouvernement syrien et les rebelles.
"Depuis le début du conflit, il y a deux ans, nous appelons au dialogue qui seul aidera le peuple syrien à surmonter la crise", a-t-il dit, soulignant que "tout mouvement ou groupe voulant participer à ce dialogue sera le bienvenu".
"Nous espérons que le peuple et le régime entameront ce dialogue (...) et parviendront à des résultats, la solution militaire n'étant pas une solution adéquate car elle sera funeste pour le peuple syrien", a-t-il ajouté.
Il a estimé en outre que l'initiative proposée en janvier par le président syrien Bachar al-Assad "serait une base adéquate pour le dialogue", en allusion au plan de dialogue national proposé par M. Assad le 6 janvier.
Dimanche à Munich (Allemagne), le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, a salué la volonté du chef de l'opposition syrienne, Ahmed Moaz al-Khatib, de dialoguer avec le régime syrien.