Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et le ministre de la Défense Moshe Ya'alon ont ordonné à l'armée de continuer à se préparer à une possible frappe militaire contre les installations nucléaires iraniennes, selon les récentes déclarations de hauts responsables militaires, cités par Haaretz mercredi.
Le coût d'une telle opération est estimée à au moins 10 milliards de shekels (2,89 milliards de dollars), selon les mêmes sources.
Selon les députés israéliens, 10 à 12 milliards de shekels du budget de l'armée seront alloués cette année à la préparation d'une attaque contre l'Iran, soit environ le même montant qu'en 2013.
L'Iran se refuse à conclure un accord final
Il est "encore trop tôt" pour rédiger un accord final avec les grandes puissances sur le programme nucléaire de Téhéran, a estimé mercredi l'un des négociateurs iraniens, en marge d'une nouvelle série de discussions à Vienne avec les 5+1
Les négociateurs tentent de transformer un accord intérimaire conclu en novembre en un arrangement définitif -au plus tôt d'ici au 20 juillet- qui supprimerait l'ensemble des sanctions occidentales si l'Iran donne des garanties solides sur la nature exclusivement pacifique de son programme, soupçonné de cacher un volet militaire.
L'accord, signé avec le groupe du 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) gèle certaines activités nucléaires sensibles iraniennes en échange d'une levée partielle des sanctions.
"Il est encore trop tôt pour entrer dans des négociations en vue de rédiger un texte final", a expliqué Abbas Araghchi, ajoutant que les discussions reprendront du 7 au 9 avril, probablement à Vienne.
Les points les plus délicats sont l'étendue du programme iranien d'enrichissement d'uranium, et le réacteur à eau lourde d'Arak. Cet équipement encore en construction utilise la filière du plutonium, qui pourrait elle aussi servir à fabriquer une bombe nucléaire.
Les négociations butent notamment sur la définition des "besoins pratiques" de l'Iran en vue d'un accord sur "la taille et la dimension de l'enrichissement", a-t-il ajouté.
Source: http://www.i24news.tv/fr/actu/israel/diplomatie-defense/140319-vers-une-attaque-d-israel-contre-l-iran-en-2014
Le coût d'une telle opération est estimée à au moins 10 milliards de shekels (2,89 milliards de dollars), selon les mêmes sources.
Selon les députés israéliens, 10 à 12 milliards de shekels du budget de l'armée seront alloués cette année à la préparation d'une attaque contre l'Iran, soit environ le même montant qu'en 2013.
L'Iran se refuse à conclure un accord final
Il est "encore trop tôt" pour rédiger un accord final avec les grandes puissances sur le programme nucléaire de Téhéran, a estimé mercredi l'un des négociateurs iraniens, en marge d'une nouvelle série de discussions à Vienne avec les 5+1
Les négociateurs tentent de transformer un accord intérimaire conclu en novembre en un arrangement définitif -au plus tôt d'ici au 20 juillet- qui supprimerait l'ensemble des sanctions occidentales si l'Iran donne des garanties solides sur la nature exclusivement pacifique de son programme, soupçonné de cacher un volet militaire.
L'accord, signé avec le groupe du 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) gèle certaines activités nucléaires sensibles iraniennes en échange d'une levée partielle des sanctions.
"Il est encore trop tôt pour entrer dans des négociations en vue de rédiger un texte final", a expliqué Abbas Araghchi, ajoutant que les discussions reprendront du 7 au 9 avril, probablement à Vienne.
Les points les plus délicats sont l'étendue du programme iranien d'enrichissement d'uranium, et le réacteur à eau lourde d'Arak. Cet équipement encore en construction utilise la filière du plutonium, qui pourrait elle aussi servir à fabriquer une bombe nucléaire.
Les négociations butent notamment sur la définition des "besoins pratiques" de l'Iran en vue d'un accord sur "la taille et la dimension de l'enrichissement", a-t-il ajouté.
Source: http://www.i24news.tv/fr/actu/israel/diplomatie-defense/140319-vers-une-attaque-d-israel-contre-l-iran-en-2014