Alors que la croissance rapide de la
population musulmane fait de plus en plus remarquer sa présence dans les
villes et villages sur tout le continent, l’islam est en train de
transformer le style de vie des Européens d’une manière inimaginable il y
a seulement quelques années. Nous allons faire une brève rétrospective
des faits les plus alarmants liés aux controverses concernant l’islam,
survenus en Europe en 2011.
En Autriche, une cour d’appel a confirmé la condamnation
politiquement correcte d’Elisabeth Sabaditsch-Wolff, une mère de
famille viennoise, militante contre le djihad, accusée d’avoir « dénigré
des croyances religieuses » lors d’une série de séminaires sur les
dangers de l’islam radical. Le verdict du 20 décembre démontre que le
christianisme et le judaïsme peuvent être dénigrés en toute impunité
dans l’Autriche post moderne, alors que dévoiler des vérités sur l’islam
entraîne de rapides et lourdes condamnations.
En Autriche encore, le Centre roi Abdallah Bin Abdelaziz pour le dialogue interreligieux et interculturel a été inauguré
dans le Musée Albertina au cœur de Vienne, le vendredi 13 octobre. Les
Saoudiens affirment que le but de cette initiative, coûtant des millions
de dollars, est de « promouvoir le dialogue » entre les principales
grandes religions mondiales afin « d’éviter les conflits ». Or des
esprits critiques rétorquent qu’il s’agit en réalité de permettre à
l’Arabie Saoudite de promouvoir l’islam wahhabi conservateur à partir
d’un « centre de propagande » permanent au cœur de l’Europe.
En Belgique, selon un
nouveau livre publié par l’université catholique de Louvain, la plus
importante université francophone de Belgique, les musulmans constituent
déjà un quart de la population de Bruxelles. En chiffres réels, le
nombre de musulmans à Bruxelles, où la moitié des musulmans en Belgique
vivent, a atteint le chiffre de 300 000, ce qui signifie que la
soi-disant « capitale de l’Europe » est la ville la plus islamisée de
toute l’Europe.
En Belgique toujours, le prénom le plus
commun donné aux garçons en 2011 a été Mohamed. Ce prénom est également
le plus attribué à Anvers, la deuxième ville de Belgique, où environ 40 %
des enfants des écoles élémentaires sont des musulmans.
Par ailleurs, le groupe islamiste Sharia4Belgium
a intensifié sa propagande et ses campagnes d’intimidation dans
l’intention de transformer le pays en Etat islamique. En septembre, ce
groupe a établi un « tribunal de la charia » à Anvers.
Les leaders du groupe prétendent que le but de ce tribunal est de créer
un système juridique musulman parallèle en Belgique afin de
concurrencer l'autorité de l'état dans son rôle de gardien des
protections du droit civil garanties par la constitution belge.
En Grande-Bretagne, un
groupe musulman a lancé une campagne visant à transformer douze villes
britanniques, incluant ce qu’ils nomment le Londonistan, en Etats islamiques indépendants.
Ces soi-disant émirats islamiques fonctionneraient comme des enclaves
autonomes, appliquant la charia et gouvernés entièrement en dehors de la
loi britannique.
En outre, la police britannique a enregistré en 2011, plus de 2800 crimes dits d’honneur,
punitions subies pour avoir apporté la honte dans la famille ; c’est la
première fois qu’une estimation de ce problème est réalisée au niveau
national. Le record des crimes d’honneur a eu lieu à Londres même et
concerne des meurtres, mutilations, tabassages, enlèvements et attaques à
l’acide, et c’est à Londres que le problème a augmenté au point de
dépasser de cinq fois la moyenne nationale.
Ces données ont été publiées peu de
temps après un autre rapport montrant que des dizaines de milliers
d’immigrés musulmans en Grande-Bretagne pratiquent la bigamie ou la polygamie
afin de profiter de sommes plus importantes de l’aide sociale de l’Etat
britannique. Le rapport daté du 24 septembre montre que le phénomène de
la bigamie et de la polygamie, licites selon la charia, est beaucoup
plus étendu que l’on ne pensait auparavant, bien que ce soit illégal en
Grande-Bretagne et punissable d’une peine allant jusqu’à sept ans de
prison. La croissance rapide des mariages multiples est encouragée par
les politiques multiculturelles qui accordent des droits spéciaux aux
immigrés musulmans qui demandent que la charia soit incluse dans la loi
et le système des aides sociales britanniques.
Par contre, une employée chrétienne en Grande-Bretagne
a porté plainte pour licenciement abusif après avoir dénoncé la
campagne de harcèlement systématique qu’elle subissait de la part de
musulmans fondamentalistes. Dans un procès qui fera date, Nohad Halawi,
une ex-employée de l’aéroport londonien de Heathrow, a poursuivi son
ex-employeur pour licenciement abusif, alléguant que tous les employés
chrétiens, dont elle-même, sont discriminés en raison de leurs
convictions religieuses.
Le cas de Halawi est défendu par le
Christian Legal Centre (CLC), une organisation qui offre un soutien
juridique aux chrétiens du Royaume-Uni. Le CLC dit que ce cas soulève
des questions juridiques essentielles, ainsi que des interrogations sur
le traitement différencié des musulmans et des chrétiens par les
employeurs.
Au Danemark, un groupe musulman a lancé une campagne pour transformer des quartiers entiers de Copenhague et d’autres villes danoises en « zones d’application de la charia » qui fonctionneraient comme des enclaves autonomes sous la loi islamique. Le groupe islamique Kaldet til Islam (Appel à l’islam) a déclaré
que la banlieue Tingbjerg de Copenhague serait le premier quartier à
être soumis à la charia, suivi de Nörrebro et ensuite la charia
s’étendrait à d’autres parties du pays. Ce groupe a affirmé qu’il allait
instaurer une « police de la vertu », 24 heures sur 24, afin de faire
appliquer la charia dans ses enclaves. Les patrouilles pourront
confronter quiconque boit de l’alcool, fait des paris, sort en
discothèque, ou participe à toutes sortes d’activités que ce groupe
considère comme contraires à l’islam.
Au Danemark encore, le conseil municipal de Copenhague a approuvé la construction de la première « Grande Mosquée »
officielle de la capitale danoise. Avec son énorme coupole bleue et ses
deux gigantesques minarets, cette méga-mosquée a été conçue pour
détoner au milieu des constructions traditionnelles plus modestes de
Copenhague. Contrairement à la plupart des mosquées d’Europe, sunnites,
la mosquée de Copenhague est chiite. Elle est financée par la République
Islamique d’Iran ; des voix critiques accusent déjà les théocrates de
Téhéran de chercher à utiliser la mosquée comme futur centre de
recrutement en Europe pour le Hezbollah, ce mouvement d’activistes
chiites.
Pendant ce temps, Lars Hedegaard, Président de l’International Free Press Society basée au Danemark, a été reconnu coupable
de discours de haine pour ses commentaires au sujet de l’islam. Il a
été condamné à une amende de 5 000 couronnes danoises (environ 1000
dollars). Les démêlés avec la justice de Hedegaard ont commencé en
décembre 2009, quand il fit remarquer, dans une interview enregistrée,
que le taux de viols d’enfants et de violence domestique était plus
élevé dans les quartiers dominés par la culture musulmane.
Bien qu’Hedegaard ait insisté sur le
fait qu’il n’avait pas eu l’intention d’accuser tous les musulmans ni
même la majorité d’entre eux de tels délits, et bien qu’il ait été
acquitté par un jugement précédent, la police de la pensée danoise a
poursuivi l’affaire jusqu’à ce qu’il soit condamné.
L’Union Européenne,
courbant l’échine devant la pression des lobbies musulmans, a
abandonné, mine de rien, un nouvelle mesure exigeant que la viande halal
(déclarée licite par le clergé musulman) porte un label signalant aux
consommateurs que les animaux n’ont pas été étourdis, et par conséquent
étaient conscients jusqu’à leur mise à mort. Avec la croissance
exponentielle de la population musulmane en Europe ces dernières années,
des milliers de tonnes d’animaux sacrifiés rituellement entrent
maintenant dans la chaîne alimentaire générale, et la population non
musulmane les consomme à son insu.
Cette décision de l’UE montre que les
musulmans ont le droit de choisir l’alimentation halal, mais que les non
musulmans n’ont pas le droit de choisir de ne pas manger d’animaux
sacrifiés rituellement.
En France, on constate que des mosquées islamiques
sont plus souvent construites que des églises catholiques romaines, et
qu’il y a maintenant plus de musulmans pratiquants que de catholiques
pratiquants. Par ailleurs, des groupes musulmans en France
ont demandé à l’Eglise catholique romaine la permission de faire usage
des églises vides comme solution pour résoudre les problèmes de
circulation occasionnés par les milliers de musulmans qui prient sur les
voies publiques. Cette demande, qui a été décrite par des commentateurs
politiques français comme étant « alarmante », « audacieuse », et «
sans précédent », est un autre exemple de l’arrogance croissante des
musulmans en France.
En octobre, un rapport fait état que les banlieues décrépies sont en passe de devenir des «sociétés musulmanes séparées»
du reste de l’Etat, selon une étude récente importante intitulée «
Banlieues de la république » qui examine la propagation de l’islam en
France.
Les immigrés musulmans rejettent de plus
en plus les valeurs et l’identité françaises et préfèrent s’immerger
dans l’islam, selon ce rapport, qui prévient également que la charia est
en train de remplacer rapidement le droit civil français dans les
banlieues parisiennes. Les auteurs du rapport démontrent que la France,
qui compte entre cinq à six millions de musulmans (soit la population
musulmane la plus grande en Europe) est au bord d’une grave explosion
sociale parce que les musulmans ne s’intègrent pas dans la société
française.
La loi française controversée
interdisant la burqa est entrée en vigueur en avril. La nouvelle loi
interdit, dans tout l’espace public en France, la burqa couvrant tout le
corps et le niqab couvrant le visage ; elle a été adoptée dans un
contexte de frustration croissante devant le manque d’intégration des
6,5 millions de musulmans.
En Allemagne, il a été révélé que chaque année des milliers de jeunes hommes et de jeunes filles sont victimes de mariages forcés.
La plupart des victimes viennent de familles musulmanes, certaines ont
été menacées de violences et même de mort. Ces révélations ont choqué le
peuple allemand et s’ajoutent au sempiternel débat au sujet de
l’immigration musulmane et de l’instauration d’une société islamique
parallèle dans le pays.
En Allemagne encore, un best-seller publié en septembre révèle que la propagation de la charia en Allemagne
est plus avancée que l’on ne soupçonnait et que les autorités
allemandes sont « impuissantes » pour s’opposer au système de justice
parallèle dans le pays. Ce livre révèle que les tribunaux de la charia
sont opérationnels dans toutes les grandes villes allemandes. Ce «
système judiciaire parallèle » sape l’Etat de droit allemand car les
arbitres/imams musulmans règlent des cas criminels sans que le parquet
et des avocats ne soient impliqués et avant même que les cas soient
soumis aux tribunaux allemands.
En outre, le nombre de terroristes islamiques potentiels vivant actuellement en Allemagne a bondi à environ 1000 individus, selon les récentes informations fournies par le ministère de l’Intérieur.
En Grèce, le parlement a approuvé un projet controversé de construction d’une méga-mosquée à Athènes,
financée par les contribuables. Cette décision est intervenue dans un
climat de menaces de violences à peine voilées, des milliers de
musulmans de la ville ayant fait pression sur le gouvernement pour
exiger une mosquée sous peine d’émeute.
Aux Pays-Bas, il a été révélé que 40 % des immigrés marocains
âgés de 12 à 24 ans ont été arrêtés, condamnés à des amendes, inculpés,
ou accusés de délits ou de crimes divers durant les cinq dernières
années, selon un rapport commandité par le ministère de l’Intérieur.
Dans les banlieues hollandaises où la majorité des résidents sont des
immigrés marocains, la délinquance des jeunes atteint 50 %. De surcroît,
la délinquance juvénile des Marocains ne se limite pas aux hommes ; des
filles et des jeunes femmes s’adonnent de plus en plus à des activités
criminelles.
Le « Dutch-Maroccan Monitor 2011 »
révèle de son côté que la plupart des jeunes délinquants marocains sont
nés aux Pays-Bas. Ceci implique que les enfants des immigrés marocains
ne s’intègrent pas dans la société hollandaise et confirme le fait que
les Pays-Bas paient très cher pour l’échec de son approche
multiculturelle envers l’immigration.
Aux Pays-Bas également, des islamistes ont fait une irruption impressionnante à Amsterdam
lors d’un débat entre deux musulmans libéraux, l’auteure canadienne,
musulmane et féministe, Irshad Manji et le député socialiste-écologiste
Marocain-Hollandais, Tofik Dibi. Le 8 décembre, un débat a eu lieu au
centre d’Amsterdam sur le thème : « Comment les musulmans libéraux
peuvent-ils empêcher l’islam d’être détourné par les musulmans
extrémistes », ce débat organisé par la Fondation Européenne pour la Démocratie n’a pu avoir lieu qu’à la suite de l’intervention musclée de la police qui a arrêté plusieurs islamistes.
Cet incident met en évidence la
fréquence croissante des tactiques d’intimidation utilisées par les
musulmans, allant du harcèlement jusqu’au meurtre, dans leurs efforts
pour museler la liberté d’expression en Europe et imposer l’islam sur le
continent.
Petite note positive quand même : un tribunal d’Amsterdam a acquitté le député Geert Wilders,
chef du PVV, (le parti de la liberté hollandais), qui avait dénoncé les
menaces contre les valeurs européennes posées par une immigration
musulmane inassimilable. Il avait été accusé « d’incitation à la haine
religieuse » contre les musulmans pour ses commentaires critiques envers
l’islam.
En juin, le gouvernement hollandais a déclaré vouloir renoncer à sa politique du multiculturalisme qui a encouragé les immigrés musulmans à créer une société parallèle au cœur de la société hollandaise.
En Italie, un rapport
du 17 octobre, publié par le Comité pour l’observation de
l’antisémitisme, commandité par la chambre des députés (la chambre basse
du Parlement italien) et intitulé « Document final : Investigation sur
l’antisémitisme » a révélé que 44% des Italiens ont des préjugés ou sont hostiles envers les Juifs.
Ce document de cinquante pages montre que l’antisémitisme en Italie est
surtout fomenté par les immigrés musulmans qui ont établi des liens
avec des extrémistes de gauche et de droite pour mener des attaques
contre les communautés juives, les synagogues, les écoles et les
cimetières juifs locaux.
En Espagne, des musulmans ont été accusés d’avoir empoisonné des douzaines de chiens à Lérida,
ville du nord-est de la Catalogne, qui est devenue l’épicentre de la
contestation sur le rôle de l’islam en Espagne. Tous les chiens ont été
empoisonnés en septembre, dans les banlieues industrielles de Lérida,
Cappont et La Bordetta, zones presque exclusivement peuplées d’immigrés
musulmans et où de nombreux chiens ont été tués ces dernières années.
Les Espagnols pensent que les immigrés musulmans ont tué les chiens
parce que selon les préceptes de l’islam, les chiens seraient des
animaux « impurs ».
En Espagne également, deux chaînes de télévision de l’islam radical
ont commencé des émissions 24heures/24 en langue espagnole, destinées
aux téléspectateurs en Espagne et en Amérique Latine, depuis leurs
nouveaux studios à Madrid. La première chaîne, sponsorisée par l’Iran,
se charge de propager la version chiite de l’islam iranien, la seconde
chaîne, sponsorisée par l’Arabie Saoudite, veut propager la version
Wahhabite de l’islam saoudien. Les inaugurations de ces deux chaînes ont
été délibérément prévues pour coïncider avec les fêtes de Noël et
représentent un exemple supplémentaire de l’envahissement graduel de
l’islam dans l’Espagne post chrétienne.
En Suède, la police de Malmö, la troisième ville de Suède, a fait état d’une augmentation significative du nombre d’attaques antisémites
perpétrées pas des immigrés musulmans en 2011. Les chiffres ont été
révélés lorsque le 20 septembre, le gouvernement suédois a fait une
provision budgétaire de 4 millions de couronnes (600 000 dollars) pour
sécuriser les synagogues du pays, après les accusations que la Suède
n’avait pas suffisamment agi pour assurer la protection de sa population
juive.
La Suède a été accusée de complaisance
envers le problème grandissant des actes antisémites commis en Suède au
point que le centre Simon Wiesenthal de Los Angeles conseille aux Juifs
d’éviter de voyager dans le sud de la Suède.
En Suisse, où la population musulmane a plus que quintuplé depuis 1980, un groupe musulman de Berne a demandé que l’emblématique croix blanche soit retirée du drapeau national suisse, car étant un symbole chrétien, le drapeau « ne correspond plus à la Suisse multiculturelle contemporaine ».
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