WASHINGTON - Toutes guerre nucléaire entre Israël et l'Iran: un scénario catastrophe que nous craignons tous profondément. Une nouvelle étude compilée par le Centre américain d'études stratégiques et internationales (CSIS), dirigé par l'ancien analyste du Pentagone Anthony Cordesman H., a exploré un tel scénario catastrophe, notant que cela pourrait conduire à la mort entre 16 - 28 millions de civils iraniens , et de 200 à 800.000 Israéliens.
Cette hypothétique, axée sur la recherche étude a également exploré d'autres éventualités pour la guerre non conventionnelle dans notre région, en notant les tactiques que les différents pays pourraient employer dans de tels cas. En se rapporte à la guerre nucléaire, l'étude a révélé qu'un israélienne mêlée nucléaire avec l'Iran serait très probablement durer environ trois semaines.
Outre les victimes directes mentionnées ci-dessus, l'étude n'a pas pu déterminer combien d'autres à long terme des pertes découleraient de retombées et le rayonnement dans les semaines et les mois qui suivent une telle attaque.
Une condition essentielle pour la confrontation nucléaire dans notre région, selon l'étude, permet à l'Iran de mettre au point le programme nucléaire, sans être gêné par une frappe préventive par Israël ou les Etats-Unis. Si préemption États-Unis ou d'Israël ne se produit pas, selon l'étude, l'Iran pourrait très bien avoir 30 têtes nucléaires disponibles pour la guerre entre 2010-2020. Israël, par comparaison, compte actuellement 200 têtes nucléaires guerre avec l'air et les capacités de lancement de la mer, selon l'étude.
Photo gracieuseté de csis.org
Compte tenu de certaines conditions, Israël pourrait survivre à un tel scénario nucléaire, selon l'étude. Iran, d'autre part, serait complètement et totalement effacé. «Récupération iranienne n'est pas possible dans le sens normal du terme, si la reprise israélienne est théoriquement possible de la population et de l'économie», a écrit Cordesman, qui a compilé cette étude intitulée «La guerre Iran, Israël et nucléaire».
Les missiles israéliens ont une portée plus grande
En bout de ligne, selon cette étude, c'est qu'Israël a tout simplement des bombes plus puissantes et efficaces. Israël dispose actuellement d'un 1megaton (mt) bombe nucléaire, alors que l'Iran ne possède pas encore la capacité de développer une bombe avec plus de 100 kilotonnes de puissance.Ce que cela signifie, en substance, c'est que la bombe israélienne peut conduire à trois fois plus de pertes que son homologue iranien (principalement en raison de brûlures au troisième degré), et dispose d'une "zone de létalité extrême» (la plage dans laquelle une centrale nucléaire bombe est fatale) dix fois plus grande.
Quelles sont les villes israéliennes sont les plus susceptibles d'être visés par l'Iran? Tel-Aviv et le centre d'Israël (tout en bas à Ashdod) sont les cibles les plus probables, comme Haïfa. Israël, en revanche, a plus de 10 villes iraniennes sur sa «liste noire» dont Téhéran, Tabriz, Ispahan, Qazvin, Shiraz, Yazd, Kerman, Qom, Ahvaz, et Kermanshah.
Cordseman a également noté que l'Iran aurait plus faibles rendements de fission, et la force moins précis en cluster de ciblage sur Israël deux plus grands complexes urbains, et que la partie iranienne serait également plus susceptibles d'être stérilisé par des systèmes de défense antimissile d'Israël.
Parmi eux est le "Arrow 2" anti-missile balistique qui pourrait potentiellement les plus abattre la plupart des missiles nucléaires lancées par l'Iran. En outre, Israël pourrait attaquer l'Iran avec beaucoup râpe exactitude et de précision, frappant ses villes avec l'objectif mortelle en utilisant deux satellites ses propres, ainsi que celles des États-Unis.
L'étude a également examiné ce qui se produirait si la Syrie aurait joindre à la mêlée israélo-nucléaire iranien. Syrie, Cordesman estimé, pourrait tuer un supplément de 800 mille Israéliens avec des missiles armés d'ogives chimiques ou biologiques.
La partie syrienne a, cependant, pourrait subir jusqu'à 18 millions de victimes Israël devrait-il répondre à une attaque nucléaire. Si l'Egypte devrait se joindre à ses voisins arabes dans la bataille, l'étude constate, Israël serait le plus susceptible de répondre à une attaque nucléaire au Caire et dans d'autres grandes villes, ainsi que par la destruction du barrage d'Assouan.
Source: http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3486011,00.html
